Voudriez-vous mesurer le temps, l'infini et l'incommensurable ?
Qui parmi vous ne sent que son pouvoir d'aimer est illimité ?
Et le temps n'est-il pas comme est l'amour, indivisible et immobile ?
(Khalil Gibran, "Le prophète" © Casterman)
I l l u s i o n . . .
Je m'évade dans le virtuel pour vibrer jusqu'à en perdre le souffle, entendre en moi gémir tes vagues ... échouer sur une plage après un long naufrage ....
Voudriez-vous mesurer le temps, l'infini et l'incommensurable ?
Qui parmi vous ne sent que son pouvoir d'aimer est illimité ?
Et le temps n'est-il pas comme est l'amour, indivisible et immobile ?
(Khalil Gibran, "Le prophète" © Casterman)
Existe-t-il étoile plus pétillante que la Joie?
Grâce de velours ! Pigmentée de scintillements d’effervescence,
Encerclant émouvants élans cosmiques qui vous éblouissent l’âme.
Cette étoile chantante de chaleur et gaieté humaine, vous surnomme,
Déesse de la Nuit ! Alors, veillez ces amants étendus près de l’orme,
Échangeant de fougueux baisers en s’étreignant sans fin et se pâment,
En se dénudant puisque seuls au monde se croient-ils, ô innocence !
Ha! Dame Lune, sans votre clarté, vivraient-ils un si doux nirvana ?
Textes: Réjeanne Savard
Les sanglots longs des violons de l’automne
Blessent mon cœur d’une langueur monotone.
Tout suffocant et blême, quand sonne l’heure,
Je me souviens des jours anciens
Et je pleure ; et je m’en vais au vent mauvais
Qui m’emporte deçà, de là pareil à la
Feuille morte …
Paul Verlaine (1844-1896)
Plus tu es loin de moi, plus je te sens proche,
Dieu sait à quoi tu penses en cet instant... ce que tu fais !
Tu instilles dans mes veines un doux poison.
La croix que je porte pour toi ne me pèse pas.
Et je marche, et je marche...
Mais je ne sais où je vais.
Je suis sans cesse ivre, et pourtant je ne bois pas.
J'ai adressé un voeu à la Madonne des Neiges :
si je survis à cette fièvre,
je lui ferai un présent d'or et de perles.
Pier de Lune
... sur une étoile frissonnante contemplant un espoir enfoui dans un baiser
Visitez mon réveil que l'ennui illumine dans un vent trop pesant d'un souffle asservi.
Et l'horizon s'efface sur votre épaule nue votre tête penchée votre regard timide.
Je m'étais endormie sur votre épaule nue mes mains dans vos cheveux
mes yeux dans votre nuit.
Ordonnez mon réveil que l'amour étourdit dans un bain de tendresse
et de baisers doux...
Patricia Dupuis
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